Quand les cons sont braves

Cette fin de semaine je me suis acheté le livre Quand les cons son braves de Martin Petit. Se nom d’écrivain vous dit rien? Alors ses bien normal car martin n’en n’est pas un il a écrit se livre comme thérapie libératoire après avoir servie 14 ans dans les forces armée canadiennes. Il y décrit sont parcours et surtout les épreuves difficiles qu’il a du vivre. Je vous recommende fortement se livre si vous etes un adepte de la guerre comme je le suis et de l’histoire. Je vous laisse sur la quatrième de couverture de mon livre à fin de vous donner un meilleur résumé.

C’est quand les cons sont braves qu’ils commettent les pires bêtises. Voilà ce que dit en substance Brassens dans une de ses chansons posthumes, à laquelle Martin Petit emprunte son titre pour le récit de son parcours de quatorze années dans l’armée canadienne. Avec une verve extraordinaire et beaucoup d’aplomb, il nous fait revivre l’histoire et les émotions d’un fantassin qui a servi sur de nombreux théâtres d’opération, dans le golfe Persique, en ex-Yougoslavie et en Somalie. Il nous rend sensible l’évolution d’un garçon qui s’est engagé par goût de l’aventure et pour voir du pays, et qui ressort de chaque conflit un peu plus marqué par l’horreur de la guerre. Ayant aujourd’hui à vivre avec le syndrome de stress post-traumatique, Martin Petit est devenu farouchement pacifiste. S’il brise ici la loi du silence, c’est qu’il voudrait, par son témoignage, éviter à d’autres jeunes gens de connaître les mêmes épreuves que lui.

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